AccueilJAROD PARKER- uc
Dim 2 Juil 2023 - 12:47
Fils unique né le 21 mai 1983 à Sacramento en Californie, l’enfance du petit Jarod est sommes toutes banale : parents aimants, parfois laissé le soir ou les week-ends seul à la maison, il en tire profit et se complait dans une certaine solitude. Au cours des années toutefois, la ville de Sacramento devient renommée pour certains faits divers : les disparitions de lycéennes sont rapportées dans les journaux, et bizarrement, elles interviennent toujours aux mêmes périodes, pendant les vacances scolaires.
Le monde de Jarod s’effondre alors un beau matin : âgé d’à peine 15 ans, ce sont les forces de l’ordre qui déboulent dans sa maison suite à l’implication de ses parents dans les disparitions de jeunes filles perdurant depuis plusieurs années. C’est d’ailleurs le temps que prend le procès également pour condamner père et mère : des années de procédure incessante, tandis que la police désespère de trouver un jour les corps supposés des personnes enlevées.
Le nom de famille porté par Jarod est soudainement aussi lourd qu’une massue. Devenu pestiféré, il finit par déménager chez une tante éloignée localisée à Seattle, mais ça ne suffit pas à le protéger des répercussions des actions de ses parents. A ses 21 ans alors, Jarod se décide carrément à quitter le pays. Direction l’Angleterre, où il posera ses bagages à York. Là-bas, il se formera aux métiers du bois, devenant ébéniste et menuisier de renom. En 2012 toutefois, il se force à revenir en Amérique à Seattle, lorsqu’il apprend que sa tante souffre d’un cancer. Il restera à ses côtés jusqu’à sa mort près d’un an plus tard, et se décidera à ouvrir un atelier de menuiserie à son compte à la suite.
→ POST-APOCALYPSE
Au début de l’épidémie, Jarod se retrouve rapidement dépassé par les événements, localisé en plein milieu de Seattle. Pendant un temps, il s’enferme dans son atelier de menuiserie, survit presque miraculeusement, isolé de son côté. Il n’a ni femme, ni enfant, ne sait pas vraiment sur qui compter. Il ne cherche pas vraiment à rejoindre de Safe Zone, se dit qu’il a de meilleures chances à se débrouiller tout seul, plutôt qu’à accroître les masses de gens désespérés qui veulent fuir la ville.
Il tient, pendant un temps, mais les mois passent et il est bien obligé de fuir. Jarod erre, comme tant d’autres survivants avant lui, sait bien qu’en pleine nature, la solitude n’est pas réellement un gage de survie. Il s’essaie à rejoindre des groupes de survivants, mais la méfiance est ancrée, tel un profond traumatisme, l’empêche de réellement se donner complètement pour autrui. Il passera plus de temps à participer à des expéditions qu’autre chose, disparaissant parfois pendant des semaines avant de revenir dans les groupes acceptant sa présence. En 2018, il rejoint le No Man’s Land, sent qu’il peut apporter sa pierre à l’édifice grâce à ses talents de maîtrise du bois. Ses services sont proposés, il y passe énormément de temps, jusqu’à ce que l’endroit soit rasé par New Eden. Forcé de repartir sur les routes, il enchaîne les épreuves de survie, et même de nos jours, il adopte toujours ce même air renfrogné, froid et dur qu’il arbore pour repousser qui cherche à trop l’approcher.
Sans être un mauvais bougre, son bagage familial aura quelque peu formaté Jarod à ne croire en personne, certainement pas en ses êtres les plus proches. Néanmoins, en dépit de sa tête de bourru, l’homme a un grand cœur : il n’a juste jamais vraiment eu l’occasion de le montrer réellement. Par ailleurs, costaud et acharné, le travail ne lui fait pas peur, les rôdeurs non plus, la survie, il s’y est fait. En milieu hostile, il sait garder son sang-froid, sait aussi se tenir à l'écart des conflits. Encore que, s'il faut en venir aux mains pour s'en tirer, il s'y obligera sans grandes difficultés.
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→ Les menus déroulants ne doivent contenir que des traits de caractère, sous forme d'adjectifs. Les habitudes, manies ou autres n'y ont pas leurs places (Exemple : Alcoolique).
→ Veillez à rester cohérent dans vos choix. Par exemple, votre personnage ne peut pas être à la fois avenant et timide.
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